« Petit à petit, l’ampleur de la révolution numérique s’installe dans les consciences. Qu’il s’agisse de la «quatrième révolution industrielle», selon le World Economic Forum, ou de la troisième, selon Rifkin, il devient clair que le travail posté et la production de masse sont en passe d’être confiés à des robots. C’est là une question de temps, «d’invention sociale», non de technologie. Le numérique ne forme plus une activité à part : il devient le moteur d’une transformation de l’économie.
Dans ces conditions, il ne s’agit pas de décréter la fin du salariat mais plutôt de créer progressivement une nouvelle forme de travail : faire que les entreprises «étendues» aillent chercher les bonnes compétences plutôt qu’enfermer leur personnel dans des fiches de poste ; laisser les free-lances se développer et donner leur chance à tous ceux qui le désirent. »
Pour libérer l’économie collaborative en France, CroissancePlus, l’association d’entrepreneurs qui fédère les dirigeants d’entreprise en forte croissance et leurs partenaires, propose d’aménager la fiscalité de manière équilibrée, de créer un instrument de financement qui lui serait dédié ; et d’installer les autoentrepreneurs aux côtés des collaborateurs de l’entreprise.
Pour connaître le détail de ces propositions, télécharger ici le rapport de CroissancePlus.