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À la rencontre de la Tediber, l’incroyable matelas

À la rencontre de la Tediber, l’incroyable matelas

Dans cette nouvelle émission du BCFE, nous partons à la rencontre de Julien Sylvain, l’un des fondateurs de la marque de matelas Tediber, que l’on connaît pour sa communication décalée et innovante. Retour sur cette business story

Quel est votre cœur de métier ?

« TediBer est une marque française, qui bouleverse le marché du matelas depuis maintenant 5 ans en apportant de la transparence sur un produit qui en manquait. Je l’ai vécu moi-même en tant que consommateur, l’achat d’un matelas est une expérience assez désagréable… On a un choix très important, on ne comprend pas toujours quel type de matelas conviendrait le mieux, il y a des écarts de prix injustifiés d’une marque à l’autre et des promotions permanentes alors que le produit reste le même toute l’année. »

Que proposez-vous pour répondre à cela ?

« Chez Tediber, nous apportons un véritable contrat de confiance à nos clients. Cela commence par notre offre qui est extrêmement claire avec un prix identique toute l’année. Nous avons une seule gamme de matelas que l’on maîtrise parfaitement et notre fabrication est réalisée en grande partie en France. Ce sont des éléments qui garantissent la qualité de nos produits.

Et pour tous les consommateurs qui veulent acheter un matelas Tediber mais qui ne sont pas encore convaincus, nous leur proposons de tester nos produits directement chez eux, dans des conditions réelles pendant 100 nuits afin de s’assurer que nos matelas conviennent à leurs attentes. »

Les clients qui ne sont pas satisfaits de vos produits peuvent donc vous les renvoyer ?

« Tout à fait. Pendant ces 100 nuits d’essai, nous pouvons venir récupérer le produit et rembourser intégralement le client. Notre équipe s’arrange également pour venir reprendre le colis sur des créneaux aussi courts et précis que ceux avec laquelle nous avons fait la livraison. Pour nous c’est vraiment un engagement sur la qualité des produits qu’on livre. Cette qualité nous permet d’avoir un taux de retour très bas. »

Que faites-vous des matelas qui sont retournés ?

« Ce produit bien évidemment on ne le revend pas mais on le donne à des associations comme Emmaüs. Ces retours représentent aujourd’hui entre 5% et 10% de notre chiffre d’affaires. »