Aline Gros, la co-fondatrice de la marque de vêtements et d’accessoires pour bébés « Pitigaia », était aux micros du BCFE pour parler de son entreprise. Elle nous présente aujourd’hui sa société made in Nouvelle-Aquitaine.
Que propose précisément votre entreprise ?
« Pitigaia c’est une marque d’articles de puériculture. On propose les grands classiques et les indispensables : bavoirs, couvertures, lange, tapis à langer nomades, pochons de naissances jusqu’aux jouets d’éveil. Nos produits se concentrent autour de cinq univers :
- La chambre ;
- Les repas ;
- Les produits nomades ;
- Les produits de toilette ;
- Une boxe de grossesse pour les futures mamans.
Ce qu’on veut, c’est que nos produits puissent se transmettre d’un bébé à un autre et qu’il reste le plus longtemps possible dans la famille. C’est pourquoi nous portons un soin tout particulier à nos produits afin qu’ils résistent le plus longtemps possible. Nos produits sont également non-genrés pour faciliter la transmission du frère à la petite sœur voir à un cousin ensuite. »
Parlez-nous de la qualité de vos produits
« Nos prônons des produits durables et de qualité. Et cela passe par le choix de matières premières nobles. Chez Pitigaia, nous sélectionnons nos matières premières selon la plus haute certification textile qui puisse exister au niveau international, qui est la certification GOTS (Global Organic Textile Standrards). C’est quelque chose d’important pour nous, puisque avons des valeurs RSE fortes. La certification GOTS prouve que le coton qui est produit dans les pays comme le Bénin respecte l’environnement et les droits des travailleurs. Il y a un vrai respect des hommes et du produit ».
Un autre de vos engagements fort, c’est le made in Nouvelle-Aquitaine. Pourquoi ?
« Parce que la Nouvelle-Aquitaine, c’est notre région. Au-delà du fait que cela impacte moins l’environnement, c’est beaucoup plus agréable de créer des produits avec des personnes qui sont proches de nous. Pour la production, nous travaillons exclusivement avec des ACI (ateliers chantier d’insertion) ou des entreprises d’insertion. Nous développons ainsi l’économie locale en aidant les personnes éloignées de l’emploi, à remettre un pied à l’étrier. »